Hervé est encore injustement méconnu, et chaque ouvrage exhumé est d’abord une joie, mais aussi une occasion de mieux entrevoir cette délicieuse folie qui traversa les théâtres lyriques du Second Empire (et dont le seul Offenbach, tout génial et rayonnant qu’il est, ne constitue qu’un seul reflet). Ici, et comme souvent avec ce répertoire, le […]